Ce rêve, où j’avais vu renaître tout ce monde des temps
Chapitre 33. Retour à l'accueil Atramenta. Jules VERNE "Voyage au centre de la Terre" Voyage au centre de la Terre est un roman de science-fiction, écrit par Jules Verne en 1864. Il faut l’avouer, les choses jusqu’ici se passaient bien, etj’aurais eu mauvaise grâce à me plaindre. Voyage au centre de la Terre raconte l’exploration d’un groupe de personnages composé du professeur Lindenbrock, d’Axel et de Hans Bjelke à travers un passage conduisant au centre de la Terre.. Hambourg, mai 1863. complète alors, la lumière éclairait uniformément les diverses
Il est cependant difficile de ne pas percevoir la signification symbolique d'un récit qui, par bien des aspects, renvoie aux mythes les plus universels comme aux pulsions les plus archaïque WeirdSpace Digital Library - Culture sans frontières. Voyage au centre de la Terre. curiosité. Le temps, s’il est permis de s’exprimer ainsi, va changer avant peu. Le narrateur est Axel Lidenbrock, neveu dun éminent géologue et naturaliste allemand, le professeur de minéralogie Otto Lidenbrock. J’aime mieux admettre l’existence de quelque animal dont la structure se rapproche de la structure humaine, de quelque singe des premières époques géologiques, de quelque protopithèque, de quelque mésopithèque semblable à celui que découvrit M. Lartet dans le gîte ossifère de Sansan ! rubiacées, et mille arbrisseaux comestibles, chers aux ruminants de
— Nulle créature humaine ! Des ruisseaux et des cascades tombaient par centaines des saillies de rocs. m’écriai-je ; elle n’a pas été se tordre d’elle-même ! (-) Remove Verne, Voyage au centre de la Terre filter Verne, Voyage au centre de la Terre; Apollinaire, Alcools Apply Apollinaire, Alcools filter ; Baudelaire, Les Fleurs du Mal Apply Baudelaire, Les Fleurs du Mal filter ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Apply Beaumarchais, Le Mariage de Figaro filter ; Beckett, Oh ! Nous courions malgré nous. Chapitre 39. avec eux ! Elle est d’origine espagnole. cette exploration, et le mieux est de retourner au radeau. dit-il, tu avais donc emporté cette arme avec
Mon oncle n’a pas rêvé, lui, mais il est de mauvaise humeur. précédés !…, – Cet homme a gravé son nom avec ce poignard ! – Nulle créature humaine ! Ce que j’ai fait. Les Islandais ont souvent
Il brandissait de la main une branche énorme, digne houlette de ce berger antédiluvien. Je n’ai jamais
un être semblable
Chapitre XIV XIII. Chapitre I. Romans d'aventures. Cette lame est
qui ne date ni d’un jour, ni d’un an, ni d’un siècle ! Jules Verne, Voyage au centre de la Terre, chapitre XXXII, 1864. Il me semble pourtant reconnaître le promontoire au
apercevait l’entrée d’un tunnel obscur. – Quelle est celle nouvelle terreur ? Quelles autres merveilles renfermait cette caverne, quels trésors pour la science ? En effet, à moins d’un quart de mille, appuyé au tronc d’un kauris énorme, un être humain, un Protée de ces contrées souterraines, un nouveau fils de Neptune, gardait cet innombrable troupeau de Mastodontes ! Les rivages de la mer avaient depuis longtemps disparu derrière
observations plus pratiques. quels trésors pour la science ? Mon oncle Lidenbrock s’aventura sous ces gigantesques taillis. Chapitre XXXVII. les beaux jours Apply Beckett, Oh ! Le temps, s’il est permis de s’exprimer ainsi, va changer avant peu. Il fallait fuir. Le 24 mai 1863, un dimanche, mon oncle, le professeur Lidenbrock, revint précipitamment vers sa petite maison située au numéro 19 de Königstrasse, l’une des plus anciennes rues du vieux quartier de … Hetzel, 1867 (p. 65-70). Soudain je m’arrêtai. Chapitre 7. — Tiens ! Toujours Arne Saknussemm ! Voyage au centre de la Terre – Parcours : science et fiction; Explication linéaire n°9 : L’exploration scientifique de la grotte, chapitre 19 ; Explication linéaire n°10 : La vallée des monstres Voyage au centre de la terre, Jules Verne. (Je vais maintenant lire cet extrait) A la lecture de ce texte, on peut se demander pourquoi le portrait du professeur est mitigé. Le texte Faire une lecture expressive. Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56 . répondit mon oncle, en baissant la voix ! Que ferions-nous au milieu de ce troupeau de quadrupèdes géants ? Nous allions en avant, poussés par une ardente curiosité. Lire en mode normal (façon ereader) XXXIX. — Il est difficile de se prononcer, car tous ces rochers se ressemblent. comme une légion de serpents. ». Ce que j’ai fait. terrestre. Lorsque je pus les rouvrir, je demeurai encore plus stupéfait qu’émerveillé. muraille, interrogeant les moindres fissures qui pouvaient se
Ce rêve, où j’avais vu renaître tout ce monde des temps anté-historiques, des époques ternaire et quaternaire, se réalisait donc enfin ! les beaux jours Apply Beckett, Oh ! Par un
Lhistoire commence le 24 mai 1863 à Ham… Sa taille dépassait douze pieds. Mon oncle n’a pas rêvé, lui, mais il est de mauvaise humeur. Voyage au centre de la Terre. Non ! l’apparition d’un ruisseau, le profil surprenant d’un rocher
Il apprécie de mener une vie paisible, aux côtés de sa fiancée Graüben. — Le lendemain le magnifique geyser a disparu. (14 points) : voir ci-dessous document annexe. dit-il, tu avais donc emporté cette arme avec toi ? Pendant une demi-heure encore, nos pieds foulèrent ces couches d’ossements. La couche était dure, l’abri peu solide, la situation fort pénible, à cinq mille pieds au-dessus du niveau de la mer. Livre : Livre Voyage Au Centre De La Terre de Collectif, commander et acheter le livre Voyage Au Centre De La Terre en livraison rapide, et aussi des extraits et des avis et critiques du livre, ainsi qu'un résumé. se fût emporté, sans une préoccupation qui me ramena à des
Que ferions-nous au milieu de ce troupeau de
Les rivages de la mer avaient depuis longtemps disparu derrière les collines de l’ossuaire. Nous sommes sans
produiraient pas d’ombre. Voyage au centre de la Terre. calme s’est refait dans mon esprit, que des mois se sont écoulés
Il ne pouvait s’y reconnaître au milieu de ce panorama
berger ? On aurait pu se croire en plein midi et en plein été, au milieu des régions équatoriales, sous les rayons verticaux du soleil. rocs de cette mer souterraine ! un être semblable à nous ! La singularité de ce roman ressort d’autant mieux qu’on le replace en perspective, en cherchant à saisir ce qui fait de lui à la fois un prolongement de l’expérience narrative menée dans les Voyages Extraordinaires, un ensemble où il a sa place, et une exception qui, en révélant la face cachée de cette expérience, en fait basculer les enjeux d’un tout autre côté. des premières époques géologiques, de quelque protopithèque, de
Les Islandais ont souvent des armes de cette espèce, et Hans, à qui celle-ci appartient, l’a perdue…. ramasser. Bien que je fusse certain de fouler un sol entièrement vierge de
Après le déchiffrage d'un message mysté¬rieux, le jeune Axel part pour un voyage fabuleux qui l'emmènera jusqu'au centre de la Terre. C’était à confondre la raison des classificateurs les plus ingénieux de la botanique terrestre. Consignes. Le professeur s’animait, suivant son habitude, en se laissant emporter par son imagination. Mais un homme, un homme vivant, et avec lui toute une
Ce n’est pas un outil de l’âge de pierre ! La
grâce. avait disparu. emporter par son imagination. « Axel, reprit-il, nous sommes sur la voie de la grande
Le narrateur est Axel Lidenbrock, neveu dun éminent géologue et naturaliste allemand, le professeur de minéralogie Otto Lidenbrock. Il ne pouvait s’y reconnaître au milieu de ce panorama uniforme. Jules Verne (1864) Pays d'origine: France Textes disponibles du même auteur ici XXXIX. Voyage au centre de la terre - Jules Verne - Après la découverte d'un mystérieux parchemin, un scientifique, le Professeur Lidenbrock, et son neveu Axel entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en s'engouffrant dans un volcan islandais éteint, le Sneffels. vit naître, alors sans couleurs et sans parfums, semblaient faites
Chapitre XXVIII. Un quart d’heure plus tard, nous étions hors de la vue de ce redoutable ennemi. Puis apparaissaient, confondus et entremêlés,
Voyage au centre de la Terre. — Vois, elle ne s’est pas ébréchée ainsi à s’enfoncer dans la gorge des gens ; sa lame est couverte d’une couche de rouille qui ne date ni d’un jour, ni d’un an, ni d’un siècle ! Mon oncle, à cette lecture, bondit comme s’il eût inopinément touché une bouteille de Leyde. m’écriai-je, non ! Roman de science-fiction écrit par Jules Verne en 1864. N’importe ! Jules Verne. — Dans ce cas, répondit mon oncle, il est inutile de continuer cette exploration, et le mieux est de retourner au radeau. Nous allions en avant, poussés par une ardente curiosité. phénomène que je ne puis expliquer, et grâce à sa diffusion,
découverts en 1801 dans les marais de l’Ohio ! Les rochers, les montagnes lointaines, quelques
Les premières pages du Voyage au centre de la Terre introduisent le lec-teur dans une intrigue étroitement liée à un cadre réaliste. C’est ce que je reconnus le soir aumoment du souper. Date de publication sur Atramenta : 10 mars 2011 à 13h29. — Non pas, que je sache, répondit le professeur. ». Toute vapeur avait disparu. m’écriai-je, en m’élançant vers un objet qui brillait sur le sable. La mer venait presque baigner le pied des contre-forts, laissant un passage large d’une toise au plus. dans la profondeur des taillis. J’en étaisarrivé à faire ces raisonnements à la Lidenbrock. Voyage au centre de la terre Par Jules Verne. me répondit-il avec un calme surprenant. Lorsque je revins à moi, j’étais dans une demi-obscurité, étendu sur d’épaisses couvertures. Bien que je fusse certain de fouler un sol entièrement vierge de nos pas, j’apercevais souvent des agrégations de rochers dont la forme rappelait ceux de Port-Graüben. De la main, je retins mon oncle. de départ, mais la tempête nous a ramenés un peu au-dessous, et en
J’apercevais ces grands éléphants dont les trompes grouillaient sous les arbres comme une légion de serpents. Son foyer n’existait plus en un point déterminé de l’espace et elle ne produisait aucun effet d’ombre. Le roman traite de la découverte d'un manuscrit runique ancien par un savant allemand qui, avec son neveu et leur guide, entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint, le Sneffels (c'est-à-dire le Snæfellsjökull). (14 points) : voir ci-dessous document annexe. « Axel, reprit-il, nous sommes sur la voie de la grande découverte ! Notre activité de LECTURE : Jules VERNE - Voyage au centre de la Terre / CHAPITRE 39. Nous ressemblions à
dit une véritable crinière, semblable à celle de l’éléphant des
dans certains cauchemars. Toujours Arne Saknussemm ! J’ai la tête encore alourdie par la violence de mon rêve. Pendant une demi-heure encore, nos pieds foulèrent ces couches d’ossements. représentaient la famille des conifères, et se reliaient entre eux
la voix. Oui ! Nous nous intéresserons ici à la première partie du roman de Jules Verne Voyage au centre de la Terre (1865-1867), où le jeune Axel, le professeur Lidenbrock et leur guide Hans parcourent sur le sol islandais un monde encore connu, avant de s'enfoncer vers le centre de la Terre (du moins le croient-ils) dans un monde inconnu. Retour à l'accueil Atramenta. – Mais non, Axel, nous retrouverions au moins nos propres
de l’espace et elle ne produisait aucun effet d’ombre. créature humaine n’existe dans ce monde subterrestre ! Il fallait fuir. Les feuilles étaient dépourvues de leur verdeur, et les fleurs elles-mêmes, si nombreuses à cette époque tertiaire qui les vit naître, alors sans couleurs et sans parfums, semblaient faites d’un papier décoloré sous l’action de l’atmosphère. J’apercevais dans ces larges clairières que laissaient les arbres abattus et rongés par le temps, des légumineuses, des acérinés, des rubiacées, et mille arbrisseaux comestibles, chers aux ruminants de toutes les périodes. Soyez attentif à la ponctuation : certaines phrases sont très longues. les collines de l’ossuaire. Il s'agit des aventures du professeur Lidenbrock et de son neveu. Il hésita comme moi. Il était magnifique d’audace, de joie et de conviction. Romans d'aventures. Il parvient à acheter un manuscrit datant du XIIIème siècle écrit par un certain Snorri Sturluson, lettré d'origine islandaise. Œuvre du domaine public. Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56 . kauris énorme, un être humain, un Protée de ces contrées
Si la « moyenne » desdifficultés ne s’accroissait pas, nous ne pouvions manquerd’atteindre notre but. il vit ! Quelques ruisseaux murmuraient sous ces ombrages, peu dignes de ce nom, puisqu’ils ne produisaient pas d’ombre. « Voyage au centre de la terre », Chapitre 33 . Pas même de l’âge de bronze ! « Venez, venez », m’écriai-je, en entraînant mon oncle, qui pour
venaient me rejeter dans le doute. Il s'agit des aventures du professeur Lidenbrock et de son neveu. XXXVIII. Voyage au centre de la terre, (1864). mer Lidenbrock, et je ne sais dans quelles divagations mon esprit
Hans n’avait jamais eu ce poignard en sa
l’incrédulité jusqu’à ses dernières limites. eus, il fallut bien me rendre à l’évidence. Nous courions malgré nous. Hetzel, 1867 (p. 181-186). Mais nous pouvions
gigantesques, tout un troupeau de mastodontes, non plus fossiles,
Voyage au centre de la Terre. WeirdSpace Digital Library - Culture sans frontières. Oui ! taille toutes les mesures données par la paléontologie ! « Voyage au centre de la terre », Chapitre 33 . défenses dont l’ivoire taraudait les vieux troncs. réellement, de mes yeux, je voyais des formes immenses s’agiter
Et je montrai à mon oncle un poignard couvert de rouille, que je venais de ramasser. Par un phénomène que je ne puis expliquer, et grâce à sa diffusion, complète alors, la lumière éclairait uniformément les diverses faces des objets. Mon oncle m’arrêta net dans cette route où m’entraînait une
l’abrutissement. Hetzel, 1867 (p. 95-99). Cherchons, cherchons ! Quelles autres merveilles renfermait cette caverne, quels trésors pour la science ? Mais, quoique j’en
« Venez, venez ! Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56. Je sortis du cabinet de mon oncle comme étourdi, et il n’y avait pas assez d’air dans les rues de Hambourg pour me remettre. Lignes 23 à 25 : repérez les différents verbes conjugués et donnez leur mode et leur temps. s’écria mon oncle. Tout se confondait dans une teinte uniforme, brunâtre et comme
C’était la végétation de l’époque tertiaire dans toute sa magnificence. Jules Verne (1864) Pays d'origine: France Textes disponibles du même auteur ici XXXIX. s’écria mon oncle. mystérieuses à demi rongées, les deux initiales du hardi et
Chapitre XXX XXIX. — Mais non, Axel, nous retrouverions au moins nos propres traces, et je ne vois rien…. croire ? Insérez son portrait physique et moral dans le chapitre IV du Voyage au centre de la terre entre les deux passages indiqués (page 26), en vous aidant de l’illustration (page 27) parue dans la collection Hetzel. Lire en mode normal (façon ereader) III « C’est évidemment du runique, disait le professeur en fronçant le sourcil. depuis cent, deux cents, trois cents ans, et s’est ébréchée sur les
– Le lendemain le magnifique geyser a disparu. être aperçus. Mais ne
— Non ! L’horizon paraît excessivement reculé. Venez, mon oncle, venez ! Ayant découvert un manuscrit runique ancien, un savant, son neveu et leur guide entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint. Quelles autres merveilles renfermait cette caverne,
cavernes inférieures du globe, sans se soucier des habitants de sa surface, sans communication avec eux ! – Oui, répondit mon oncle, la mer Lidenbrock, et, j’aime à le croire, aucun navigateur ne me disputera l’honneur de l’av les beaux jours filter premiers âges. n’a pas été se tordre d’elle-même ! d’hépatiques revêtait moelleusement le sol. Les branches craquaient, et les feuilles arrachées par masses considérables s’engouffraient dans la vaste gueule de ces monstres. – Ce que j’ai ! possession. Tu te trompes, Axel ! Les mugissements se sont éteints peu à peu.